Unité
du vivant
En abordant la biologie, on se retrouve face à un motivation multiple.
Le mot biologie est tellement vaste, il suppose la connaissance du monde
vivant. Les diciplines scientifique ont pour vocation de découper
les difficultés en sinterressant à des objectif restreint.
La biologie dans sa forme la plus vaste est loin davoir un objet
restreint et bien définie. Dans son acceptation la plus large le
terme de biologie na plus beaucoup de forme et dobjectif.
En effet la connaissance du monde vivant, cest quasiment toute la
connaissance puisque pratiquement toute les connaissances agissent plus
ou moins agit directement sur le monde vivant. Il faut donc restreindre
lobjectif. Une des première restriction les plus proches
du terme et de chercher à comprendre le dénominateur commun
du vivant. La première question de la biologie est donc quest-ce
que le vivant. La réponse condensé simple cest le
monde animal, le monde végétal auquel sest ajouté
plus tardivement, le monde cellulaire.
La question de la place de lhomme dans la biologie est beaucoup
plus délicate quon pourrait le croire. Au départ la
biologie était létude du vivant (lhomme étant
anecdotiquement inclus dedans). Autrement dit il sagissait du principe
de vie en général excluant les spécificité
humaine. En effet, Vu les similarité fonctionnel, physiologique,
morphologique existant entre lhomme et lanimal, une continuité
a été établie, de sorte que la première biologie
a englobé lhomme dans le catégorie animal. Ce qui
semblait assez normal dans cette volonté de découvrir lunité
du vivant.
Position
de l'homme
Seulement, il existe encore aujourdhui un hiatus à ce sujet :
les spécificités de lhomme (la conscience, la pensée,
la réflexion, lorganisation sociale, la psychologie, le langage,
) ont été trop facilement négligé dans lidée
de réduction à lunité du vivant. La biologie
a inévitablement du positionner lhomme (qui est lintérêt
téléologique de la science, biologique y compris) dans cette
morphologie du vivant. Mais au lieu de considérer la logique propre
de spécificité (qui est nécessairement laffaire
dautres disciplines), la biologie de part sa volonté initial
de recherche de lunité du vivant a voulu étendre et
expliquer le « sens de lhomme » par la description
de cette unité. Il me semble que cest une erreur fondamentale
de la biologie moderne, (mais pas de tous les biologiste). La biologie
parle de l'unité du vivant, mais le sens humain dépasse
très largement cette unité, l'y réduire serait carrément
une erreur.
Dans cette démarche, la biologie trouve dailleurs très
vite ses limites dans la confrontation aux autres disciplines. La biologie
est davantage en phase despérance quen phase de construction
objective. Lhistoire devrait donc tempérer ses ardeurs. De
même que la logique n'a pu engendrer la philosophie, de même
que la physique n'a pu engendrer la biologie, de même la biologie
ne peut expliquer l'homme. Ni d'ailleurs l'économie, ni la sociologie,
ni l'antropologie, ni... car aucun de ces objectif n'est assez large pour
englober les autres et le compréhension de l'homme et du sens les
englobe tous.
Maintenant, il est évident quune recherche de continuité
entre la biologie et l'homme est inscrite dans la perspective téléologique
de la biologie. Elle est inévitable. Mais elle devrait donc être
envisagé avec beaucoup plus de retenu quelle ne lest
médiatiquement présentée. En effet les spécificités
si nombreuses et fondamentalement si séparée de lunité
du vivant qui sont en lhomme, devrait inspirer une immense modestie
et une immense prudence sur la capacité à définir
cette continuité ; qui est à mille lieu davoir
établi une objectivité dans de les nombreux domaines de
ses conjectures.
Polymorphisme
et unité
La biologie est confronté à un problème essentielle :
le polymorphisme de son objet. Faut-il étudier le vivant en adoptant
un objectif différent dans chacune de ses partie : la biologie
cellulaire, la biologie végétal, la biologie animal, la
biologie humaine. Chacune de ces catégories ayant une unité
orienté vers une direction bien différente. Mais si la biologie
adopte des objectifs spécifiques chacune de ses particularité
elle deviendra inévitablement la science du tout, elle naura
plus de raison dêtre en propre. Cest pourquoi une autre
volonté biologique existe : montré en quoi réside
lunité du vivant. Et le paradigme le plus retenu dans cette
direction est lévolution du vivant. Mais alors la biologie
se trouve face à une question qui est certes très intéressante
mais qui tranche radicalement avec lobjet de son étude première :
si toute la biologie peut-être appréhendé sous lidée
dévolution du vivant, il faut expliqué en quoi consiste
cette évolution. Parler dévolution cest parler
de direction et de sens. Et nous arrivons ici en plein terrain de la métaphysique.
Qui de plus génère une très grande difficulté :
celle de lobjectivité. Il est difficile dêtre
objectif en des domaines si mystérieux. En concevant ainsi lobjet
de sa science, la biologie risque dy perdre son objectivité.
Répondre à la question du vivant sous cet aspect, cest
donner un sens à la vie et entre autre à la vie humaine.
La biologie peut-elle à elle seule répondre à cette
question ? Parce que répondre au sens de la vie en général
cest aussi répondre au sens de la vie humaine. Est-il possible
de donner un sens à la vie humaine en réduisant lhomme
à la catégorie générale de « vivant » ?
Il se trouve que pour appuyer cette espérance, lhistoire
de la biologie a produit des découvertes tout a fait surprenant
sur ce sujet. Lexplication de la vie comme évolution en est
dailleurs la plus grande : lexplication de lhomme
comme apparition continu à partir de la matière est un bouleversement
dans la perception de lhomme par lui-même. La biologie moderne
nest pas en reste : en fournissant la connaissance de lhomme,
elle fournit à lhomme le pouvoir de transformer lhomme.
De même pour la vie en général : la biologie génétique
permet de transformer la réalité vivante. Autant dans la
reproduction qui devient production, que dans la nature qui devient modifiable.
Il faut dire que cette transformation de lhomme par lhomme
nest pas nouvelle, la médecine a du franchir des étapes
dinterrogation profonde pour acquérir son objet propre :
symboliseé entre autre par le serment dhypprocrate. Mais
le pouvoir concéder par la biologie donne des perspective toujours
plus vertigineuse du pouvoir de transformation quà lhomme
de lui même (Hitler et leugénisme, guérison
des maladie génétique, le clonage, luage des embryons
(que lon prend soin de désigné par cellules souches)
a des fins térapeuthiques par exemple, les plantes génétiquement
modifiées pour les adapter à nos besoin et désirs,
). Il existe donc une partie de la biologie qui est science du vivant
qui sest heurté de plein fouet avec dautres formes
et science du vivant que celles propres à son objet. Mest
avis que la crise est loin dêtre dénouée, quelle
pourrait même saggraver si son objet demeure à de telle
prétention par ses seules moyen : elle va se heurter à
des objectivités insoupçonné qui ne procède
pas de sa propre logique.
Au résultat la biologie est une science qui cherche encore dans
la trame les condensations qui pourrait unir ses désirs. Mais hormis
cette crise existentielle, la biologie possède une tâche
proprement gigantesque : répertorier les morphologies du vivant.
On pourrait donc trouver un sens de la biologie dans la définition
du vivant (qui est loin d'être évidente). Nous tenteront
une approche dans un chapitre où ce besoin sera plus insistant.
Pour l'instant nous nous contenteront d'une définition naïve
: le vivant est une forme de la matière qui permet une reproduction
de la forme par lui-même dans une autonomie (region spatiale bien
délimité) qui gère les échange avec l'extérieur
(énergie, croissance, déchet,..).
Donner un sens à ces formes puis établir les laisons existantes
entre ces formes. Le travail est titanesque et il sétabli
à de nombreux niveau : mécanisme de la matière
vivante (cellules, organes, système organique, cest la physiologie,
la biochimie qui font le lien avec la physique), la morphologie du vivant
(inventaire, taxinomie, anatomie, dans chaque réalité botanique
zoologie, anthropologie)), le mécanisme du vivant (la reproduction,
La formation de lêtre vivant (embryologie) , apport et usage
de lenergie (la nutrition,.. .) les pathologies, ) . Puis
le comportement (psychologie, sociologie, éthologie, ). Puis
enfin les liens entre ces structures : lien déquilibre
et de relation interespèce (écologie), lien dévolutions
(étude de lorigine de la vie, mécanisme de lévolution,
classification philogénétique).
Si javais une définition et donc un objet à fournir
pour létude de la biologie ce serait le morphologie du vivant
à l'exclusion du pensant.
Objectivité
et subjectivité
La biologie est une science placée à cheval sur plusieurs
échelle de réalité. Cest plus quune simple
remarque, létude de la vie repose ce constat de réalité
qui se chevauche. Aussi la tâche de la biologie nest pas aisée.
Elle consiste non seulement à étudier la morphologie de
chacune de ces échelles, mais aussi à étudier les
liens qui existe entre ces échelles. Non seulement les liens, mais
aussi les contraintes, les mécanismes et linterdépendance
existant entre ces niveaux de la réalité.
La partie objective de la biologie consiste à décrire la
morphologie de chacun de ces niveaux, morphologie constitutionnelle et
fonctionnelle. Le programme de la biologie restrent à cette perspective
est dune objectivité bien établie. Mais si lon
rentrait dans le détail on saperçoit que lobjectivité
négale pas celle de la physique et encore moins celle des
mathématiques :
En effet les phénomènes étudé sont des descriptions
morphologique : le langage utilisé pour ces descriptions est
issue dune langue beaucoup plus subjective que la langue mathématique
utilisé par la physique. Le résultat est une subjectivité
plus grande.
Dans ce sens, on peut dire que la nature des résultats décrit
est dune précision globalement moins grande et surtout moins
absolue que pour les « sciences exactes ».
Mais cest aussi la complexité des phénomène
en jeux qui ajoute à la subjectivité : moins de précision
combiné à des réalité nombreuse et varié
produit une subjectivité beaucoup plus grande de la globalité
décrite.
Mais au-delà de ces subjectivité dordre quasiment
théorique la biologie décrit des condensations dune
netteté dont il serait incompréhensible de dénigrer
lobjectivité.
Mais
la biologie ne se limite pas à la description de morphologie objective.
Elle doit donner un sens à la vie en général, elle
cherche donc à établir des structures plus vastes que les
seules descriptions seules objective. Cest à ce niveau là
que la biologie devient une science beaucoup moins « dure »,
beaucoup moins exacte. La somme des paramètre et des influences
qui interviennent dans lexplication de la vie est dune taille
déconcertante. Les biologiste tente de forger des structures de
compréhensions qui ne sont pas toujours dune objectivité
manifeste. Ainsi la biologie est aussi une science de la spéculation
quil faut prendre avec beaucoup de précaution.
Mest avis quune science se devrait toujours daccompagner
chaque description de sa valeur dobjectivité. Or la biologie
telle quelle médiatiquement présenté joue souvent
de la confusion sur ce sujet ce qui dénature regrettablement la
valeur de son contenu.
Influence de la biologie
Nous lavons évoqué et il me semble important de revenir
sur ce point : la biologie a été à lorigine
de plusieurs révolution de la perception. Perception de lhomme,
de la vie. (On aurait pu aussi en parler dans un autre mesure pour la
physique).
Cette capacité de la science à bouleverser le regard de
lhomme sur la nature ou sur lui-même montre que la connaissance
a des effets plus grand que la seule perspective théorique. La
connaissance apporte des réponses objectives.
Cette influence a par exemple été profonde sur la société
dans la remise en cause Darwinienne qui donnait à lhomme
limage dun animal un peu perfectionné. Image qui a
non seulement cassé le regard anthropocentrique, mais qui a aussi
ébranlé de nombreux équilibres sociaux, religieux
et surtout individuel. Cette capacité de la biologie a intervenir
dans la vie est donc indéniable, et cela na rien détrange
puisque son objet est celui de la vie.
Dans ce sens, la biologie a montré ses capacités à
donner un autre regard sur la vie. Seulement il me semble quà
cuase de son objet, la biologie est au cur de nombreuses problématique
qui dépasse la direction posé par son objet. Ces problématiques
ne la dépasse pas complètement, puisquelle est capable
dy apporter des éléments objectifs. Mais il me semble
que les réponses ne peuvent être établie sur la bases
de ces seules éléments. La réponse apporté
par « lespoir biologique moderne » sous-estime
la nature des questions posées, cest notamment le cas pour
le sens de la vie. Dailleurs nous attribuerons à cette question
lobjet dun chapitre complet.
Maintenant il faut le souligné et là encore cest une
surprise de la trame : létude objective de la vie peut
apporter des éléments de réponses déterminant
à des questions qui apparaissait au départ comme appartenant
à linnacessible expérimental.
Cet élément est probablement le plus important apporté
par la biologie pour ma recherche du sens de la vie : le fait
que la trame apporte des réponses innatendus à certaines
aspirations existentielle.
La Science est recherche de la réalité objective partageable.
Le sens est le ressenti instantanné d'un tissu organisé
de concepts formant une unité cohérente liée à
la totalité de nos aquisitions (qui sont pour chacun un autre sens).