Définition
La
physique est létude des mécanismes de la matière
concrète sous ses différentes formes élémentaires
(énergie, lumière, solide, ). Une autre définiton
plus anecdotique à laquelle je ne m'arrêterai pas serait
l'étude des mécanisme matériel non vivant (le sens
de la physique proviendrait alors de la définition du vivant par
exclusion). Si ces deux définitions semble se recouper, c'est à
cause d'un constat sur la trame qui demandrait à être confirmer
: le non vivant semble être descriptible en mécanisme élémentaires.
C'est une impression qui à longtemps perduré, mais les avancéss
réalisé et surtout l'intérêt croissant pour
l'observation de la complexité pourrait laisser penser que les
définitions ne sont pas aussi liées qu'il semblait.
Nous retiendrons la première définition plus positive. Seulement
c'est là des définition naïve. Comme nous l'avons fait
pour la logique et les mathématiques, il serait bon de chercher
à définir cette réalité dans le cadre de notre
approche de la réalité. Mais la physique est assez difficile
à définir dans ce cadre.
Vouloir définir la matière concrète serait déjà
toute une expédition car la physique à détroné
lévidence sensible par des explications très éloignée
de celle-ci qui rende compte d'une réalité qui n'est pas
toujours perceptible au premier abord.
Mais je pense quen parlant de la réalité de la trame
nous avons déjà donné un bon aperçu de la
réalité matérielle. Seulement la physique ne cherche
pas la compréhension de toute la trame. Son objet est spécifique.
Il faut donc aller plus loin. Essayons donc de définir la physique
dans une tentative naïve. Pour pouvoir définir la physique,
il faut d'abord avoir fait un constat sur certains lieu de la trame. (j'appelle
lieu de la trame un ensemble de motifs senblables avec toutes les condensations
qui leurs sont sémantiquement liées). On définit
d'abord le monde matériel (dans notre apporche on dirait plutôt
le monde extérieur) comme la partie de la trame qui nous est accessible
par nos sens perceptifs.
Vient
alors le constat observé dans la trame : dans le monde matériel,
il existe des classe de condensations élémentaires immensément
étendues dans la matérialité qui sont sytématiquement
liée entre elle par des motifs de nature mathématique (logique).
L'objet de la physique est donc de découvrir les lieux de ces différents
motifs mathématiques et la morphologie de ces lieux pour donner
un sens objectif au informations sensitives.
Les
mots « classe de condensations » signifient ensemble
de condensations ayant le même motifs.
Le mot «élémentaire» signifient dons le sens
est donné par un nombre de relation simple et bien perceptible.
Pour que soit bien comprise cette remarque, il reste à définir
les mots «immensément étendus». Cela signifie
qu'il se répête un nombre potentiellement incalculable tellement
il est vaste. Cela suggère l'idée de réalité
qui regroupe tellement de cas particulier à l'identique qu'on peut
percevoir une condensation faite de répétition si vaste
qu'elle peut prendre le qualificatif de « classe abstraite ».
Ces classes abstraites élémentaire et immensément
représenté dans la perceptions seront les concepts physiques
(chaleur, lumière, liquide,...). Elles sont élémentaires
en ce qu'une l'explication qui les définit à partir de la
perception ou des autres concept donne une structure simple entre les
concept physique liés par le sens. Sont donc exclu des concepts
physique, toute les condensations faite de réalité qui seraient
complexe et variée (en particulier le vivant).
Remarques
Remarquons que le monde matériel est défini comme le monde
perceptible par les sens. Tout accès à ce monde sera forcément
donc fondé sur des donnée sensitive (expérimentale).
La physique est donc l'explication mahtématiques et conceptuels
des données expérimentale.
De façon synthétique, la physique doit découvrir
tous les liens mathématiques qui existe entre les les données
expérimentale vu au travers de leur classe abstraite de regroupement
à l'identique.
Remarquons
que les concept ne sont pas les seul à être simple. La nature
mathématiques des motifs rend aussi les motifs forcément
assez simple car accessible au remplacement symbolique. De plus, notre
perception repère plus facilement les concepts les plus simple.
Ainsi la physique est liée une notion de simplicité ;
pour les concepts c'est par définition et pour les motifs par nécessité.
On peut oser une remarque anecdotique : l'étude du la cosmologie
semble être de la physique en tant qu'étude des éléments
l'univers. Mas l'astronomie pose plus de difficulté à être
rangé au rang de la physique : les données utiles ne sont
pas des réalité immensément représenté
(notre système solaire est singulier). De plus l'astronomie est
pour une grande partie loin des relation mathématiques. On est
assez loin de notre définition. Par contre on comprend qu'historiquement
l'astronomie a été rendu possible par les découverte
physique qui ont permis d'étendre la perception. L'astronomie est
donc davantage une science de la description de l'aspect singulier de
notre environnement qui se détache de l'étude des principes
répétitif qui explique cette description qui elle est relève
davantage de la cosmologie. D'ailleurs le nom des discipline n'est pas
équivoque à ce sujet.
Observons
que les règles mathématiques utilisées en physique
ne peuvent pas être dépourvue de leur sens mental perceptif.
Cela se comprend dans la définition car les classe de motifs qui
se répêtent sont de nature perceptive. Ils sont fondé
sur des constat expérimentaux sensible. Etant des catégories
non-purement-symbolique fondé sur une perception naîve, elle
sont donc de nature subjective. C'est une abstraction de forme symbolique
qui permet l'univocité des concepts mathématiques. Les concepts
physique sont eux une reconnaissance perceptive de condensation fondé
sur une explication de nature élémentaire. On est très
loin de la nature symbolique, de toute évidence, les concepts physique
ne sont donc pas de nature univoque. De plus l'expérimentation
qui permet l'élaboration de ses concepts est sensitive et donc
loin d'être elle aussi univoque. Ainsi par deux bouts (l'expérience
et les concepts) la physique perd la précieuse qualité des
mathématiques l'univocité. Le lien entre ces deux extrémités
est lui univoque puisqu'il s'agit de motifs mathématiques.
Le manque d'univocité ne permet pas d'étendre trop loin
l'objectivité par propagation logique. Autrement dit, les réalité
physique reste cantonné à un dommaine de validité
que l'expérience doit déterminer.
Nous
n'entreront pas dans les détails de la physique ; notre intérêt
est davantage porté sur le rapport quentretiennent la physique
et la réalité.
Utopie
Pour certains l'objectif de la physique consistait à rendre compte
de toute la matérialité sous forme d'itération de
ce schéma. C'est un acte de foi assez conséquent : il consiste
à croire que tout ce qui est matériel s'explique comme conséquence
logique de ces schémas. Mais au point au nous en sommes, cela paraît
complètement déraisonable. Car les formes de la trame ne
sont pas imposé.
Dans la trame, on trouve un phénomène assez mystérieux
: beaucoup de réalité se résume à un socle
réduit. C'est le cas en mathématique, ce sera aussi la cas
en physique. On serait porter à croire que toute complexité
et même toute la trame se réduit à une composition
de simplicité. Seulement ces découverte ne sont que local
dans la trame. Et il est assez normal que de telle réduction apparaisse
assez naturellement à la perception. Par contre comment peut-on
expliquer la complexité qui ne se résoud pas. Imaginer que
cette réduction à lieu partout et avoir manquer d'un regard
large sur la trame qui ne montre cette réduction qu'en certains
lieux bien ciblé. Imposer à toute les formes de la trame
de trouver leur réalité comme une conséquence logique
de forme simple est un choix plus que subjectif.
Leçons
et questions de la physique.
Nonobstant les problèmes de subjectivité et le manque d'univocité,
la physique est parmi les choses les plus réalistes et les plus
objectives qui soit dans la perception humaine.
La physique a grandement inspiré les bases essentielle de ma réflexion
philosophique sur la réalité, qui sétend à
la vérité.
Lhistoire de la physique pose de nombreuses questions :
Comment se fait-il que lon puisse connaître la matière
plus précisément que ne la révèle lévidence
sensible ?
Comment se fait-il que la connaissance de la matière permettent
détablir des lois qui la concerne ?
Que sont ces lois ?
Quel est la nature de cette matières ? Quest-ce que
les lois nous apprennent réellement sur la matière ?
En quoi la matière diffère-t-elle de la connaissance des
lois ?
Comment la connaissance de la nature peut-elle devenir tellement complexe
quelle devient quasiment inaccessible à lattendenment ?
En quoi la connaissance de la physique est-elle objective ?
En quoi une telle connaissance nous parle-t-elle de la matière ?
Dans
le parcours de notre recherche, nous avons déjà abondamment
parlé de physique en présentant sommairement la relativité
restreinte et la physique quantique. Cette présentation visait
un objectif précis : montrer que la réalité
objective ne se résume pas à lévidence et que
la forme quelle peut revétir peut carrément être
contraire à lévidence.
Cette leçon de la physique est très précieuse. Cest
une leçon douverture desprit qui nous demande :
de ne pas être trop être bloqué par notre perception
personnelle de la réalité
et surtout de toujours laisser léventualité dun
affinement ou dune refonte de cette perception.
se se laisser convaincre par lobjectivité quel quen
soit la forme.
mais aussi de savoir relativiser la valeurs de nos connaissances en ne
leur conférant pas une valeur absolue.
Ce sont les changements radicaux induit par les théories suscité
qui sont à lorigine de ces leçons. Ces changements
radicaux sont changement de perception, de cadre, de réalité.
Il induisent aussi des questions : comment de tel changement peuvent-il
parvenir à lobjectivité ?
Et
à la suite, quel sont donc les méthodes, les objectifs et
la nature de la connaissance qui guide la physique pour permettre de tel
changement, au point de renverser la perception de la physique ?
Ce qui rend cette dernière question si pertinente, cest que
la physique est intimement lié avec la réalité. C'est
donc un peu la question de la fiablité de notre perception de la
réalité qui est en jeu. Maintenant si la physique est
la recherche des lois de la matière. Si ces lois se révèle
innatendue, il faut plier devant lobjectivité de leur réalité :
les lois sont encore plus têtus que les faits.
Mais la physique cest avant tout un immense édifice stable
et bien coordonné de la connaissance de la matière. Comment
tous ses changement et cette stabilité peuvent elle cohabiter.
Lhistoire de la connaissance de la physique est mêlée
à lhistoire de la connaissance de lobjectivité.
Cest la nature de la physique qui lui donne cette position honorable :
la réalité trouve son expression la plus objective dans
la physique. Observons la nature de cette réalité.
La
trame physique
La physique exprime les lois qui relie les concepts élémentaire
de la matière. La physique montre quau delà de la
perception sensible il existe des regards qui révèle de
nouvelle réalité, de nouveau concepts.
La mesure est un fondement de la physique, cest au travers des mesures
chiffré beaucoup plus précise que l'appréciation
mentale quest apparu un nouveau monde dune incroyable richesse.
En joingnant à laspect qualitatif du monde une lecture quantitative,
le monde à trouvé une nouvelle réalité. Ce
sont les lois. Les mesure des réalité élémentaires
de la matière étaient liées par une multitude de
relation insoupçonnée jusqualors. Ces relations ont
donné au monde matériel laspect dune structure
extremement précise et complexe.
La tâche du physicien est donc autant de trouver les condensations
les plus simples que les laisons entre elles. Pour finalement décrire
cet enchevêtrement de relation qui façonne lédifice
Physique. Ou plutôt lédifice des principe élémentaire
de la matière perçue sous langle qualitato-quantitatif.
Les deux notions fondamenales sont donc condensations élémentaires
et les lois (ce que nous avons appeler précédemment dans
le langage de la trame les classes et les motifs).
Les condensations élémentaires sont les concepts qui permettent
dexprimer au mieux et le plus simplement possible la structure de
la matière. Par exemple, la découverte de la quantité
de mouvement, ou la découverte de lénergie comme concept
fondamentaux ont demandé un certain temps avant dêtre
formulé. Elles sont pourtant des conceps clé pour entrevoir
le simplement possible des pan entier de la physique.
Les lois sont les relations structurelle quantitative (mais forcément
aussi qualitative) quentretiennent ces condensation élémentaires,
elle sont de nature mathématiques (par une modélisation
des formes observée).
Lhistoire
de la physique a révèlé que les lois et que les concepts
ne sont souvent que des approximation dune réalité
plus fine. Les exemple les plus fréquement cité sont la
mécanique de Newton qui sinscrit dans la mécanique
plus fine de la relativité (pour ce qui est de laspect temps,
masse, longeur et energie) mais aussi dans la mécanique quantique
(pour ce qui est de laspect mesure, présence, interaction, ).
Ces exemple sont les plus flagrant mais il sont très loin dêtre
uniques (on peut parler de la themodynamique qui se transforme en mécanique
statistique). Cest pourquoi autant les lois que les concepts fondamentaux
semble pouvoir nêtre que des condensations dune réalité
plus fine. Et comme aucun moyen ne permet de savoir si un concept nest
pas perceptible lui même comme une structure dans une perception
plus fine, autant dès lors attribué à chaque réalité
physique le nom de condensation qui sous-entend le non-fondement de ces
choix. De plus on sait que toute réalité possède
une part de subjectivité, les réalités de la physique
sont loin dne être exempte, il est donc utile et cest
là la vision de la trame, de considérer toutes ces réalités
premièrement comme des concept, puis comme des concept réel
(qui sont tiré de la réalité). Voilà le sens
de condensation qui a justement trouvé son inspiration dans la
physique à la recherche du réel.
Lhistoire de cet recherche du réel a aussi inspiré
une foule de philosophe. Cest sur ces constatations que Kant à
compris la nécessité de lexpérience sensible
pour connaitre la réalité. Lhistoire de la physique
est fondée sur cette expérimentation, sur cette manipulation
du réel pour en comprendre les arcannes. Voilà donc un autre
mot fondateur de la physique : lexpérience.
Nous avons déjà abordé le sujet mais il me semble
important de lui ajouter quelques précisions ici. En parlant de
la trame et de la physique, il est intéressant de connaître
la place de la physique dans la trame, dans la réalité.
La physique étant la description de la matérialité,
certain ont posé la physique en maitre de la science. Il est vrai
que son histoire et que son objet lui donne une place particulière.
Seulement nous avons appris quil faut réduire chaque idée,
chaque vérité à son domaine dapplication. Si
la physique étant la base de la matérialité permet
détudier les relations matériel de base, réduire
la trame à la physique serait commettre une erreur. Le fait que
la matirère soit à la base de toute réalité
ne permet pas de réduire toute la réalité à
la matière et encore moins à la physique. Il y aurait un
cumul derreur à faire ce choix :
Nous avons déjà vu que le fait quune réalité
soit indispensable à toute réalité, nest pas
suffisante pour la poser comme fondement de la réalité.
Tellement de réalités sont vraiment indispensable quil
est naîf den choisir une arbirtrairement. Le soleil est indispensable
à la vie sur terre qui est indispensable à lexistence
humaine, qui est indispensable à la pensée qui est indispensable
à la physique. Donc le fondement de la physique est le soleil
De plus il serait légèrement voire franchement abusif dassimilé
physique est matière. La physique est létude quantitato-qualitative
des concept élémentaire de la matières. Ce nest
pas la description de la matière. La matière elle même
est loin dêtre connu, la physique même le montre. Il
serait regrettable de confondre le tout avec une partie du tout.
Et même la description élémentaire se heure à
des barrière infranchissable de connaissance : la complexité.
Dès que les éléments en jeux dépasse une certaines
mesure de simplicité, il devient impossible dapprécier
la réalité. Seul les situations les plus simples sont envisageables
par létude qualitato-quantitative. Simple par le nombre restreint
délement ou simple par le comportement structuré des
éléments (linéarité des relation quantitative,
ou non linéarité élémentaire).
Il y a même bien davantage que la «simple complexité »
des phénomènea étudier ; il y a aussi linnaccessibilité
de certains autre phénomènes. La physique est létude
des principes élémentaire, il nest pas létude
des structure complexe. Il est même quasi-constant que la physique
soit incapable de rendre compte des réalités supérieure.
Par exemple la physique est incapable de rendre compte des comportement
psychologique. Mais sans aller jusque là, on peut citer limmense
difficulté pour la mécanique quantique de rendre compte
de la décohérence de la matière situé à
un niveau macroscopique. Pour résumer ce principe on pourrait dire
autre échelle, autre réalité. La prétention
de compréhension de la physique est très limité.
Sa prétention universelle est une utopie fondé sur une logique
qui na pas étudié son domaine de validité.
Qui ira même jusquà affirmer la réduction objective
de la réalité à la matérialité. Cest
une autre raison qui permet de douter des prétentions de la physique.
Mais cette prétention nest pas inscrite dans la physique.
Cest une extrapolatin philosophique dont les arguments sont très
éloigné de la physique.
La physique possède donc son champ dapplication. Un champ
déjà immense qui a montré sa profonde relation avec
la vie et le sens de la vie au travers de la technologie. La technologie
a révolutionné les mode de vie par les découvetes
de la physique (entre autres, on pourrait citer la medecine, lagronomie,
).
Si les mathématique sont un fondement de la science par la capacité
de fournir une logique des structures (numérique et autre). La
physique est un fondement de la science par la capacité de fournir
une connaissance objective de la réalié matérielle.
Dailleurs les relations entre la physique et les mathématiques
sont dune nature si étroites quun commentaire en mérite
le détour.
Mathématiques et physique
Ces deux matières ont toujours été lune pour
lautre une source dinspiration profonde.
Cest en immense partie dans les questions de la physique que les
mathématiques ont puisé un souffle vital qui a permis de
constuire une foule doutils qui, réflexion faisant, a fini
par réveler la nature autarcique des mathématiques. Mais
aujourdhui encore la physique est une profonde source de développement
mathématique, car la physique révellant des forme ne peut
évoluer sans les motif mathématique pour les modéliser.
Ainsi la physique pousse sans cesse la roue de linspiration mathématique
qui savère inépuisable.
C'est la nature de la physique que d'exprimer les relations structurelle
par les mathématiques. C'est nécessaire pour faire apparaître
la finesse et les relation numérique (donc symbolique) que existe.
Seule les mathématiques permettent d'aborder ces motifs avec la
rigueur que demande la physique. Ainsi létude de la réalité
matérielle passe invariablement par lusage des structure
logique et numérique. Les mathématiques sont donc
la langue de la physique, ou plutôt la langue des lois physiques
car il reste à la physique en propre un langage, celui des concepts
fondamentaux.
Il
faut savoir que dans « certaines régions éloignée »
de la réalité matérielle, la description physique
nécessite une langue dune complexité technique et
logique telle que les mathématiques sont sans cesse en retard pour
lui fournir la langue structurelle adaptée. Cest le cas dans
les domaines de létude des extrêmement petit ou des
extêmement grand. Lieux où les concepts fondamentaux prennent
tendenciellement un sens de plus en plus proche des objets mathématiques
pur (encore pourvu de leur approche mental bien sur).
Cest ainsi quest né le tandem inséparable de
la physique et des mathématiques. Mais il ne faudrait pas généralisé
abusivement de cette complicité. Car en tout temps et aujourd'huiplus
que jamais les deux disciplines garde leur spécificité et
leur autonomie.
Les mathématiques sont une science qui possède plusieurs
moteur : lun est directement utilitaire, il doit répondre
aux questions structurelles des autres sciences. Lautre est intime :
il procède des ses propres aspirations. Les mathématiques
sont une découverte autonome dune région spécifique
de la trame (celles des structures symboliques et univoque).
La physique a pour objet létude de la réalité
matérielle, les mathématique ne sont quun moyen pour
parvenir à cette étude. Si le moyen nécessite le
besoin inséssant du développement mathématique, cest
en tant que moyen. Si un physicien travaillant sur de tel extension mathématique
se prenait au jeux de lobjet propre des mathématiques, ce
serait quil devient mathématiciens. Il se trouve quen
certains lieu de la physique les mathématiciens sont les bienvenu
car en ces lieux les besoins en structure symbolique complexe frisent
avec lémerveillement. Il existe ainsi au coeur de la physique
des lieux de liberté de conquète mathématiques. Mais
en tout ces lieux de la physique, il est toujours possible de nêtre
que physicien : cest à dire vouloir établir les structures
de la réalité matérielle. Les outils structurels
qui sont le langage de la description, aussi extraordinnaires soient-ils,
ne sont pas l'objectif qui fonde la recherche physique. Elle est fondée
par la volonté de donner un sens le plus simple et le plus pertinent
qui soit aux données des expériences sensibles.
Lobjectivité
physique
Observation
expérimentale
La physique est le lieu lobjectivité matérielle. Nous
lavons dit, il est curieux que lobjectivité nous ait
conduit si loin de lévidence sensible. Mais lobjectivité
na pas de contenu préprogrammé. Cest une connaissance
qui se découvre par lexpérience et la cohérence
et qui peut nous conduire beaucoup plus loin quon ne peut limaginer.
Pour découvrir cette objectivité le physicien est a laffut
des moindre manifestation de la réalité matérielle.
Combien dexpériences ayant révélé des
manifestation nayant aucun rapport avec lobjet de lattente
expérimental, ont été à la base de nouvelle
découverte. Une chance ? Plutôt une attitude attentive
à la réalité.
Un des principal moyen de ce désir dobservation est la mesure.
Le besoin dune mesure toujours plus fine pour réveller sans
cesse de nouvelles réalité. Réalité qui a
leur tour permettent de réaliser des mesures plus fine. Cest
le cercle vertueux de lobjectivation en un domaine où lobjectivité
est maitre-mot. La mesure cest le moyen de la physique. Cest
lintermédiaire qui le conduit à la réalité.
Rien détonnant quà force dusage toujours
plus précis, on parvient un jour à trouver des lieu de la
tram où les condensations ont de curieux contour.
Direction suprenante ou naturelle
La mécanique quantique donne un sens curieux à la mesure :
la mesure est perturbatrice, elle transforme la réalité
de façon irrémédiable. La loi dincertitude
dheisenberg.
La mesure, lacte qui permet la connaissance objective, doit être
intégré à la réalité qui en devient
donc subjective. Pas moyen de lui échapper.
Et au sommet : seule est perçue la mesure. Il devient impossible
de connaître la réalité en soi. Seule la mesure est
connue. La réalité ne sera donc plus que réalité-mesure
de la réalité. Les conséquences sont rudement sévère
sur la perception de ce que signifie la réalité.
D'un autre côté c'est assez logique d'arriver ici avec la
définition de la physique : « la compréhension
mathématiques de la perception » à force de finesse
objective parvient un jour à devoir prendre directement en compte
la perception elle-même et les mathématiques deviennent le
coeur du discours.
Retournons
à la vision globale du tableau : on est parvenu à une
sorte de sommet de l'échelle de précision objective. Peut-être
même quelle se déplacera plus profondément un
de ces jours (pour linstant rien ne le laisse envisager, il serait
maladroit dy croire). Laperçu globale du tableau montre
une objectivité comme il est rare den apercevoir une. Une
hyperstructure dont les réalité grossières sont réglé
par des réalité détaillés dans une précision
inouie. Cest par acharnement qu'on cherche la subjectivité
résiduelle qui nous donnera l'ouveture sur de nouvelle réalité.
Mais lappel de lobjectivité est irrésistible.
Lexception fait tâche. La comprhension des frontières
subjective est plus attirante que les terrains conquis.
Seulement, si nos rêves nous appellent toujours plus loins, ne perdons
pas de vue le chemin parcouru. La physique est un vivant exemple de la
conquête
de lobjectivité.
Méthodologie
Parler de lobjectivité en physique peut difficilement contourner
le problème de la méthodologie. Chaque discipline développe
des stratégies méthodologique conceptuelle, expérimentale,
analytique qui maximise ses chances dobjectivation. La recherche
en physique a posé plusieurs principes méthodologiques propres :
puiser dans lexpérience les contenus mesurés qui forme
la base de la connaissance objective.
Fonder lintuition morphologique des concepts fondamentaux à
partir de ces données mesurées. Et construire la théorie
qui rend conte des données expérimentale par des lois établie
sur ces concepts fondamentaux. A ce point, lobjectivité de
cette théorie repose sur sa cohérence, sa pertinence (et
donc la largeur de son intégration en terme de quantité
de liaison de sens).
Acquérir davantage dobjectivité, en montrant que la
théorie permet de montrer la réalité dexpériences
insoupçonnés sans la théorie. De la forme de la réalité
proposée par la théorie est suggeré une expérimentation
nouvelle mesurable. L'anticipation d'une nouvelle expérience est
un crédit en la validité de lla morphologie proposé.
Car a priori les formes disponible à l'imagination sont illimitées
donc la confirmation d'une forme annoncé est un crédit très
important pour la cohérence morpholologie choisie. Il faudrait
un sacré coup de déveine pour que ce point soit une coïncidence
complètement fortuite. Maitenant un point très important
à considérer est que la théorie ne soit que partiellement
correcte, car elle utiliserait un ingrédient mophologique réel
cumulé avec d'autre qui soit décalé. Si toute la
nouveauté conceptuelle apporté par une théorie, si
le sens suggéré par la morphologie a pu être testé
par de telles expérience, on sera satisfait de la théorie.
Si une particularité conceptuelle n'est pas confirmable par l'expérience,
on sinterrogera toujours sur la validité de la pleine objectivité
de la théorie (aujourdhui encore certaine partie de la relativité
générale sont soumises à lexpérimentation).
Ainsi un des points fondamentaux de mesure de lobjectivité
consiste à determiner la part de nouveauté conceptuelle.
Mais réduire les concepts sur le critère de la nouveauté
(ou plutôt de la différence) est une tâche qui est
loin dêtre facilement objectivable (la morphologie de la trame
nous le fait aisément comprendre).
De
ce discour, on constate que les formes de lobjectivation tirent
un appuis permanent du réel. L'éluquabration purement logique
est proscrite; ce qui semble élémentaire... aujourd'hui.
Tout ce discours cocerne la validation de l'objectivité. Maintenant
la recherche des forme utilise d'autre moyen : les morphologie proposée
reposent souvent sur une cohérence gratuite : cest une
forme de risque nécessaire pour la progression de lapprentissage
: la recherche des mrophologie se fait par tatonnement. Il faut anticiper
lobjectivité pour quelle se confirme par authentification.
Oublier lauthentification serait une erreur méthodologique.
Cest une leçongénéral d'objectivité
que beaucoup d'autre sciences aurait à considérer (mais
ces science plus molle n'ont en général pas le privilège
de la physique par l'expérimentabilité objective). Nous
avions vu que cette démarche de validation est utile pour connaitre
la mesure de lobjectivité d'une connaissance ancienne, mais
c'est aussi primordiale pour estimer la pertinence de nouvelle connaissance
suggéré. La conjecture est une étape incontournable
de la recherche, mais on oublie trop facilement de veiller à ne
pas confondre cohérence d'un conjecture et objectivité d'une
réalité. Cette leçon est au cur de notre démarche
globale: non seulement la mesure de lobjectivité, mais aussi
la recherche dacquisisition de connaissances fiables.
La
matière et les lois
La physique est façonné en nature par ces deux principes
essentiel que sont les concept fondamentaux et les lois. Observons les
dun peu plus près. Les concept fondamentaux.
Ce sont en quelque sorte les objets de la réalité matériel.
Ce sont les condensation qui permettent de décrire la nature, lontologie
de la matière. Si pour la technologie la loi est beaucoup plus
importante que le concept, pour le chercheur pour lassoiffé
de connaissance, pour le curieux, le concept est au cur de son objectif.
Le concept donne le sens de la réalité en le liant au réalités
connues. C'est le fondement du sens.
On a beaucoup disserté sur cette volonté de représentation
mental de la nature. En particulier sur la subjectivité de ces
représentation. Les conclusions sont divergentes entre ceux qui
rejetent les représentations car leur subjectivité ne leur
permet pas de prétendre à la réalité (pensons
à latome de Bohr revisité par la mécanique
quantique). Dautres cherche désespérement où
est précisément la réalité dans leur représentation
mental, car ils veulent conserver le fondement de leur Physique.
Il faut dire que le concept de représentation mental a reçu
des impulsions terriblement destructrices avec la mécanique quantique.
Les concepts fondamentaux de la mécanique quantique sont réduit
à quelques intitulé prenant des valeurs numériques
: piètre pertinence de sens, piètre lien avec le réel
connu. Le concept de base, le quanta de matière échangé
est défini par un ensemble de quelque nombre. Voilà sa seule
prétention conceptuels. Difficile à avaler pour une visuel
de la matière.
Je ne pense pas résoudre ici la question de la pertinence des réprésentations
mentales des théories physiques, mais nous possédons un
élement important de perspecive : lidée de condensation
et l'hypothèse d'une théorie de a connaissance.
Si la réalité est condensation, il est loisible dattribuer
une ontologie positive (une validité) à ces représentation
mentale. Seulement pour maximiser l'objectivité, il faut être
précis dans les critère de cet objectivité :
il faut que les éléments validé comme objectif ne
contiennent pas de notion non explicitement observé par l'expérience.
Par exemple lidée de boule solide pour un atome ne repose
sur rien dobjectif. (Sur ce sujet, on se réferera aux commentaires
de la mécanique quantique sur les images datome par le microscope
a effet tunnel ; images qui sont venu postérieurement à
la représentation mental). Ainsi une representation mentale me
semble objective dans le sens où les différent concepts
formant cette représentation sont dotés dune mesure
dobjectivité.
Maintenant comme dans toute représentation mentale de la réalité
physique, il existe un bon nombre de concepts non perturbateur qui sont
subjectif. Lidée de boules solides semblable à une
boule de billard pour la représentation dun atome n'est as
perturbateur. Il faudra se résoudre à rejeter cette représentation
en tant qu'objectivité, mais pas forcément en tant que pallier
pour atteindre l'objectivité (c'est une étape intermédiaire
difficilement contournable). Il serait maladroit de la rejeter complètement,
car en elle est réelement contenu une représentation de
la condensation observé qui est bien une réalité
: l'idée d'une localisation spatiale étendu de façon
homogène autour d'un point. Même si cette représentation
est supplanté par une réalité plus fine, elle n'en
demeure pas moins une réalité profondément objective
(au sens de notre épistémologie).
Si je devais rejeter toute représentation au titre d'un défaut
de réalisme, il nexisterait plus de gens, plus damis,
plus de nourriture, plus de monde matériel, plus de papier, plus
de livre de physique, plus de mots parlant de physique. Je ne saurai même
plus quoi dire des mes idées inclassifiable. A moins dêtre
stupidement attaché au vanité de ses croyances hyper-réaliste,
je ne vois pas qui irait jusque là. Jexiste bien et latome
aussi ? La grande difficulté est de faire la part des choses
dans la représenation mentale, connaître le domaine de validité
de chacun, comprendre la cohabitation des différente échelle
de la réalité.
Mon avis est quil est bon de débarasser les représentation
mental des grandes erreurs dobjectivation (sauf éventuellement
celles qui concourent à des fins didactiques, qui ont donc un objectif
d'apprentissage). Ce faisant après on peut être satisfait
de notre perception de la réalité. C'est la seule façon
de voir réellement un paysage de la nature ou
son propre visage?
Ansi lidée des concepts fondamentaux me semble garder une
entière pertinence. Qui dailleurs peut faire de la physique
sans cela ? Que signifierait U=RI si la tension nexistait pas
réellement. Il ne sagit pas de sauver les apparences.
Il sagit de comprendre le sens des apparences.
Maintenant, il nous faut expliquer un fait très particulier :
d'où vient cette ontologie désincarné qui est apporté
par la physique quantique ? En fait, il ny a pas grand chose
à dire : on est face à une objectivité, il suffit
de la prendre comme tel. Il nexiste pas dontologie suffisament
riche qui rende compte de cette objecitivité, il me semble bien
maladroit de la créer de toute pièce (interprétation
de la mécanique quantique par de Brogli). Il ne sagit pas
de renoncer à lontologie, mais seuelement de sen passer
pour la mécanique quantique. La trame nous livre un modèle
désincarné, il faut faire avec lobjectivité
que nous livre la trame, nest-ce pas cela lobjectivité ?
Evidemment, on est dans une situation assez curieuse et inédité
de la physique. Si la physique change de visage, peut-on encore parler
de physique ? Les classification sont un nominalisme subjectif, si
lunité préalable devient polymorphe quà
cela ne tiennent, on lapprend et cest fini. En choisissant
pour physique la définition des mécanisme élémentaire
de la matière, la mécanique quantique entre pleinement dans
lintitulé si lon accepte de comprendre matière
avec un sens ontologique faible. Mais il semble quon ait pas beaucoup
le chois, ce nest pas nous qui fixons les contenus de lobjectivité.
Dailleur a-t-on jamais su ce quétait la matière ?
De plus on peut être surpris de la satisfaction quil y a a
donné une valeur ontologique aux faibles éléments
que nous donne en pature la mécanique classique. Et si après
tout la matière réel ne possédait comme seule matérialité
objective que le fait dêtre une structure
dont la seule manifestation consiste à réellement
satisfaire des lois. Abandonner lidée dun substrat
matériel nest pas une abstraction irréaliste. A-t-on
jamais su ce quétait non seulement la matière mais
aussi la substance ? Ce nest pas une réalité
physique établie, cest un concept mental. Pourquoi donc sattacher
autant à un concept qui ne trouve nul par dobjectivité.
Nul part ? Si, dans lévidence sensible. Mais si ce concept
de substance trouvait justement son explication objective dans la mécanique
quantique ne serait-ce pas une découverte très appréciable.
Cette perception situerait lexistence de la matière dans
une réalité non susbtantielle. Et présenterait lidée
de substance comme une apparence psychologique dune réalité
toute autre. Nest-ce pas là la démarche quil
a fallut faire avec la découverte de latome. En acceptant
que la matière était faite datome il fallait accepter
de croire quun ensemble de boule produisait une apparence
continu. Pourquoi ne pas accepté quune structure réel
non substantielle donne lapparence de substance. Cest intéressant
dimaginer quune strucure puisse nêtre pas seulement
réel comme abstraction de la réalité, mais aussi
directement comme fondement de la réalité. Cest peut-être
là que réside la plus grande difficulté mentale :
imaginer la réalité dune strucure (au sens le plus
matériel qui soit). On nen possède pas dautre
exemple. Mais possédait-on un exemple de ce quétait
la matière ? Si toute structure apparaissait comme abstraction
de la matière, cest tout simplement parce que toute matière
est matière. Pourquoi toute matière ne serait-elle pas structure.
Les structure sont une réalité ; réalité
situé au dessus de la matière et pourquoi pas dans la matière.
Puisquil ny a (pour linstant) quun seul concept
matière lui donner une existence structurel est-il un renoncement
au bon sens. On ne possède aucun point de repère, que peut-on
savoir de la nature profonde de la matière et de la raison de son
apparence substentielle. Et au fait, Einstein na-t-il pas établi
que du mouvement (de lénergie) peut créer de la matière.
Est-on si loin de la désubstantiation ? Cette idée
me satisfait, mais ne pouvant avoir de preuve de son objectivité
(pas plus que pour lhypothèse inverse dailleurs), il
me semble utile den préciser la réelle subjectivité
il est vrai que cette idée me plait tout simplement parce que jaime
mémerveiller devant les surprises de la trame, mais en cela
je sais que je fait uniquement un choix esthétique et non objectif.
Il y aurait dailleurs encore beaucoup a dire sur la surprise quoffre
la réalité de la mécanique quantique, en particulier
sur linterprétation du phénomène de la mesure
par dEspagnat qui propose lexistence dune réalité
subjective car uniquement individuellement objective.
Nous avons présenté la réalité des concepts
fondamentaux et aussi la réalité de la matière. Parlons
maintenant du second aspect de la réalité physique que
sont les lois.
Les
lois
« La physique parle en langue mathématique »
signifie que lessentielle de la physique est un énoncé
de lois (de structure mathématique) portant sur des concepts fondamentaux
(dont les lois servent parfois à la définition). Il vient
à lesprit une question profonde :
Quel est la nature de la réalité de ces lois ?
Il se trouve que ces lois possèdent des expressions différentes
selon léchelle de condensations auquel on les observes. Ainsi
comme toute réalité, ces lois ne sont que condensations.
Si mathématiquement ces lois sont énoncés comme des
perfections, on sait que cette perfection disparaît de la réalité
physique. Il ne reste que lidée dapproximation de cette
perfection. Mais cela ne dénie en rien leur caractère réaliste.
Ces lois sont une réalité dont la nature objective et dêtre
lapproximation dune loi structurelle idéal. Nous venons
tout simplement de décrire quune condensation peut objectivement
posséder des bord subjectif. Mais pour être plus précis,
rien nétabli que toute les lois physiques possèdent
ces contours subjectif. Par exemple il est vrai que la nature montre en
enchainement de réalité toujours plus fine à différentes
échelles d'observations, mais il convient donc de ne pas généraliser
lidée que toute loi est approximation dune loi plus
fine, car la suggestion n'est pas pérénité. La mécanique
quantique nous suggère quelque chose de surprenant en dessous de
loi mécanique on ne trouve (pour l'instant) plus de loi, mais la
théorie sugère que l'on trouve le hasard comme mécanisme
fondamentale de lexistence. Pourquoi faudrait-il que l'on trouve
nécessairement quelque chose en dessous dune loi ?
Cest une question qui nest pas seulement un prolongment logique,
elle possède un pertinence essentielle à la compréhension
de ce quest une loi. Puisque toute la physique se ramène
à aux lois, l'idée de loi serait-elle la réalité
fondamentale de la nature matérielle ? Une loi peut-elle se
suffire à elle même et être le point d'appuis de la
réalité matériel ? C'est là la questio suggéré
par la mécaniqua quantique qui on peut le dire donne une part maigre
au concept et une part essentielle aux loi.
Avant daborder ce sujet, établissons une remarque utile :
nous avons dit que les concepts fondamentaux était une partie très
chère aux chercheurs de sens, à ceux qui veulent connaître
la réalité et il existe un débat sur la valeur de
ces perception. Mais une fois acquis le principe de la réalité
comme perceptible par des condensations de la trame, on comprend que toutes
les lois intermédiaire ne sont pas de nature dégradé,
elle sont réalité. Ainsi la dissertation sur la valeur des
représentation mentale est à corriger, ce n'est pas la valeur
(qui est acquise) qu'il faut discuter mais la pertinence. Il faut séparer
la subjectivité de l'objectivité contenue dans ces concepts.
Ainsi la recherche de la réalité objective ne devrait pas
être dirigée préférentiellement vers les concept
fondamentaux ou vers les lois qui les relient pour d'autres, mais vers
l'adéquation de ces couples concepts-loi. Séparer les lois
de la réalité sous pretexte de subjectivité est une
mauvaise appréciation, car il y a aussi de l'objectivité.Même
si ces concepts se révèle être de nature beaucoup
plus abstraite et symbolique, moins relié à la nature, on
peut dire qu'il sont maglé tout des concepts. On a seulement lieu
d'une nature nouvelle.
Cette remarque est très utile à la réponse à
la question : La loi est-elle le fondement de la réalité
matérielle ? Si la trame est condensations, les lois de la
physique et davantage encore lidée de loi sont des condensations
dune objectivité. La loi est un concept, les concept un autre.
Il est vrai que la loi est un principe fondamentale de la réalité
matériel. On peut donc dire que la réalité est loi ;
pas seulement loi, mais aussi loi. Par cette réponse nous avons
répondu à deux autres questions :
Une loi peut-elle se suffire à elle même ? Une loi est
établie entre des concepts, mais en-dehors de cela point de besoin
de lui trouver une explication. La loi c'est une forme. C'est un constat
sur un lieux de la trame, ce lieux est celui de la matérialité.
On peut dire que c'est ce type de constat qui définit la matérialité,
point n'est besoin de trouver une explication à l'alliance qui
existe entre loi et matérialité. C'est une morphologie qui
définit une catégorie. Maintenant, bien sur il arrivera
que certaine lois soit « expliquées » par
dautre loi dans une descripton plus fine. Il s'agit de motif imbriqué ;
plus fin ne signifie pas rendre caduque. Cela ne diffère en rien
que lidée de loi est dans le fondement de la réalité
matériel, cette affirmation est un constat d'observation.
Comme nous le dirons bientôt à propos de la mécanique
quantique, la réalité symbolique donc la loi semble réellement
être au fondement de la réalité. Si à cela
on ajoute que la réalité quantique sexprime sous la
forme de structure accompagné de concept fondamentaux dépouillé
jusquau plus simple appareil qui ressemble étrangement lui
aussi à une strucutre. Cela donne lidée que la loi
comme fondement de la réalité est une direction des plus
pertinente, mais aussi surprenante. « Loi » nest
plus alors un concept de relation, la loi devient une réalité.
Comme nous lavons expliqué précédemment, cest
une curieuse façon de présenté la réalité,
mais qui na rien de foncièrement incohérent, dautant
que les lois étaient déjà au cur de la réalité.
Lidée
de loi nous conduit à lidée de causalité, nous
en reparlerons plus largement en parlant de du hasard et du déterminisme,
mais pour linstant contentons-nous de lidée quune
loi nestpas forcément à percevoir comme une relation
de cause à effet, mais tout simplement comme un constat de corrélation
précise. Lidée de cause à effet na pas
de fondement absolu, et la perception de lidée de loi et
de la réalité comme loi éloigne encore ces fondements.
Mais en remettant en cause lidée de cause à effet,
cest lidée de loi qui est elle-même atteinte,
car la loi pourrait nêtre alors quune apparence, qu'une
forme sans impératif. Il y a plusieurs question dans ce problème.
Nous y répondrons en leur temps, quand nous disposerons des outils
conceptuels nécessaire mais provisoirement disons que tout nétant
que trame, il est mal aisé de posé comme absolu une idée
dont les contours sont si difficile à cerner. Ainsi lidée
de loi, lidée de cause a effet peuvent-être établie
comme des condensation sans contestation. Maintenant il nest pas
exclue quune perception plus fine de la réalité transforme
les idées de loi et de cause à effet comme étant
souvent une simple apparence. Il reste alors à définir le
sens de la liberté, mais ce nest plus nos propos ici, nous
en reparlerons plus tard.
Formes et objectivité
Pour terminer sur lidée de loi, il est interessant de parler
de la nature très particulière des travaux actuels portant
sur la réalité physiques. Nous en avons esquissé
le portrait : la réalité proposée par nos physicien-mathématiciens
est dune nature qui ne vise plus quà établir
une cohérence avec les expériences. Il semble quaujourdhui
toute liberté soit permise sur les structure employé tant
quelle parviennent à expliquer et unifier les résultats
des expériences. Il faut dire quil existe de grosses difficultés
dunification. On ne possède pas de structure mathématique
globalement valable.
Comme la réalité est loi, il est entrevue par certains que
touver une structure unique est une priorité sur trouver une structure
objective. Dautre s'y refusent. Lunicité est nécessaire
puisque la nature « fonctionne », mais comment décider
de lobjectivité dune loi ?
Il se trouve que les structures proposées pour avancer sur le chemin
de lunicité sont des réalité proprement ahurissante :
un monde à 26 dimensions ayant une structure connexe mais non étendue
dans toute ses dimensions et non étoilée Il n'y a
la aucune autre objectivité que la volonté de confirmer
les expériences ne justifie ces choix. La question est alors :
est-il possible de construire des réalités complètement
différentes qui aboutissent au même résultats ?
Et surtout en existe-t-il d'autres qui soit plus objective ? Ne connaissant
que très sommairement la nature des mathématique, j'espère
que je ne mavance pas trop en répondant oui. Seulement, vu
la complexité du problème, pour linstant on en a pas
produit une seule Mais on voit poindre des interrogations existentielles
à lhorizon :
comment choisir la bonne structure ?
quel concept nous permettent dobjectiviser une structure ?
se peut-il que la réalité ne soit pas réductible
à une loi ?
comment percevoir la réalité si la subjectivité de
la loi est insoluble ?
Le problème est très loin dêtre assez avancé
pour donner une réponse objective. On peut juste donner des opinions.
Nous avons déjà abordé ce problème mais nous
pouvons le reformuler brièvement ici avec les outils conceptuel
dont on dispose : la trame peut nous surprendre. La subjectivité
peut-être insoluble.Lobjectivité nest pas une
necessité. La réalité nest pas forcément
objectivable. Par contre il me semble naturel que lon maximise lobjectivité,
en particulier en privilégiant la pérennité. Il est
évident quen ces lieux, ce nest plus possible :
un des dernier vecteur de lobjectivité est la simplicité. Seulement,
il donnerait à croire quen ces lieux, elle ait pris quelques
vacances.
Il semble établit quune théorie unifiée rendant
compte des faits observé aurait une structure ahurissante et surtout
invérifiable (à cause de notre limitation énergétique,
on ne pourra jamais vérifier ses hypothèses).
Dans ces condition il semble difficile d'adhérer ontologiquement
à une telle théorie. Car pour qui connaît et use des
mathématiques, les structures possèdent une existence ontologique.
Si lontologie ne peut être attestée par l'expérience
et que seul nos résultats observés sont expliqué
par la théorie, lobjectivité dont dispose le modèle
est limité au vérification de lexpérience.
On pourrait aussi imaginer que ce sont des petites souris courrant très
très vite et mangent beaucoup de biscuits et qui sont dans une
réalité que nous ne pouvons pas toucher qui fabrique les
résultats de toutes nos expériences. Sauf que dans ce cas
on rendra compte des expériences, mais pas de la structure de ces
expériences.
Créer lunité structurelle de lexpérience
possède-t-il un intérêt autre que celui dun
habile jeux de mathématicien ? En fait, on espère et
cela est plus que raisonnable, quun tel modèle sil
est inverifiable sur lontologie profonde sera malgré tout
vérifiable sur une ontologie plus faible. Elle permettrait donc
de prévoir des résultats dexpériences inédites.
Et confirmerait ainsi non pas la validité ontologique du modèle
globale mais une validité partielle. Il existe potentiellement
plusieurs structures rendant compte de même sous structure qui serait
les observation confirmée.
Il est curieux de constater que la physique science exemplaire de lobjectivité
termine sa course engluée dans une telle subjectivité.
Mais na-t-on pas dit quil ne fallait pas présumer de
la trame. La physique nous apprend toujours cette leçon mais à
des niveaux toujours inattendus.
L'aspect
singulier de la mécanique quantique.
Un autre lieu de surprise : le fait que la mécanique quantique
s'exprime presque purement sous forme de réalité symbolique
dénué de concept est surprenant. Peut-on dire que lidée
de loi est une sorte de fondement de la réalité matériel ?
Le fait que la mécanique quantique soit la couche inférieur
de la physique, n'anule pas les autres réalités supérieur.
Cependant il apparrait une réalit d'un ordre tout a fait nouveau
les concepts utilisé pour définir les lois sont de nature
symbolique et plus des représentations mentales liée aux
perceptions. Dans la mécanique quantique on se situe donc à
l'intérieur d'une science quasiment univoque. Avec, et ce n'est
pas de l'humour, l'adjoction d'une subjectivité univoque : le hasard
(lorsqu'on perçoit la mécanique quantique sous cet angle).
C'est donc un lieu très particulier de la physique, c'est un lieu
quasiment mathématiques : ce qui le différencie des mathématiques
c'est que ce lieu n'est pas à voir comme le lieux d'une forme logique
abstraite, mais celui d'une réalité matérielle définie
par cette forme logique qui porte en elle le sens des manifestation expérimentale
observée. La nuance n'est pas anecdotique : l'un est vue comme
une forme, l'autre comme la réalité présente.
Si le mot réalité s'applique, c'est parce que cette forme
s'observe par l'expérience. Ce qui est très surprenant dans
ce cas c'est que le concept existe dans son plus simple appareil : il
est réalité matériel incarné dans des symbole.
C'est la seule chose qui reste à incarner parce que les concepts
sont symboliques (en dehors de la forme des concepts symboliques eux-mêmes).
Symbolisme
et perte de concepts
Modérons notre propos maintenant :
Quand on étudie les différentes échelles de la réalité,
on s'aperçoit de la perte progressive des concept intuitif de la
matière : on a dit que la représentation mentale des
l'atomes (où des particules atomique : protons, neutrons électrons)
comme boule 'solide' était commode pour acceder à la connaissance
mais qu'il était aussi une erreur d'objectivité car on connaissant
éventuellement une indication sur la taille des boules (par certains
type d'interaction expérimentale), mais rien sur la nature solide
de cette boule: toute impression de toucher est exclu, seul une distance
d'interaction forte était connu. Le mot solide est donc mal approprié,
le mot taille aurait été plus approprié, mais comment
parler de taille sans solidité... L'inertie de ce concept de solidité
est un indice de notre intuition de la matière : voir toute la
matière comme des petites boules dans tous les sens et avec toutes
sorte de propriété était intéressant, car
il nous faisait voir le solide partout. Liquide, gaz, tout devenait solide,
c'était juste un peu moins solide, mais fondamentalement solide.
L'atome était donc encore de la matière. On peut même
dire qu'il était devenu encore mieux de la matière. Rappelons
nous des grecs essayant de décrire les « quatres éléments »,
leur vision de la matière était beaucoup plus diffuse que
nous. Passer de la multiplicité matériel au symbole aurait
été beaucoup plus facile que cette étape intermédiraire
tellement 'matérielle', le solide résumait la matière.
La perte du solide a laissé un grand vide. (Mais rappelons nous
qu'il n'y avait pas que les atomes, il y avait aussi les ondes, on avait
tendance à l'oublier. C'est vrai que le toucher, le goût,
l'odorat et l'audition s'explique tous par les atomes, mais il reste la
vue qui s'explique par les ondes éléctromagnétique.
Seulement il nous semblait voir des atomes...). Ainsi on peut penser que
c'est un parcours historique qui nous à jouer se mauvais tour.
Car en se concentrant sur l'objectivité, la perte des repères
intuitifs avait déjà énormément commencer
avec l'apparition de l'atome et le symbole avait déjà commencé
à apparaitre : les différent corps simple était combinaisons
différentes de ces boule. Mais ces boules n'avait pas d'autre réalité
que d'être ces boule avec quelque propriété. Autrement
dit elles étaient de pur symboles élémentaires pour
construire la diversité de la réalité.(ce que ces
boules avait conservé toute de même c'était une certaine
spatialité (une étendue, une dimension que l'on mesurait
par des interactions) et un mouvement (et ainsi l'inscription dans le
temps). On possèdait donc là encore des réalité
assez riche en évocation intuitive de la matière, mais on
avait déjà fait un pas en avant vers le symbolisme et vers
la perte d'une foule immense de concept intuitif : en particulier tous
ceux qui sont lier au sens : l'atome ne se percevait en aucune manière,
il se connaissait uniquement par ses propriété, propriété
très limités. C'est la notion de taille et notre habitude
de la matérialité qui complait la mesure de cette impossibilité
de perception. En toute objectivité, il restait assez peu de concept
à ce symbole de particule atomique.
Le
sens retrouvé
Quand on revient à la mécanique quantique, on peut ajouter
que les concepts symboliques en jeux sont loin d'être écarté
de toute réalité. Il y a en particulier la présence
de la spacialité et du temps qui sont deux concepts fondamentaux
de la réalité matérielle. Avant l'époque de
la mécanique quantique, quand un philosophe dillétante se
posait la question « mais c'est quoi la matière ? »
en regardant autour de la matière, il voyait l'espace et le temps.
La matière était donc une réalité tout à
fait mystérieuse à l'intérieur de l'espace et du
temps. Ces concept fondamentaux n'ont pas changer. La mécanique
quantique fait le même constat: elle explique les formes mathématiques
de l'évolution matériel dans l'espace et le temps (au niveau
microscopique) en exprimant les formes de cette transformation. Nous sommes
là au coeur de la recherche physique, ça pourrait être
là une définiton de la physique. On a eu l'impression de
perdre la réalité en l'exprimant par de simple des symboles
vide. On a l'impression d'une extrême pauvreté en en regardant
les seuls concepts mentaux qui reste : le temps, l'espace, la loi
et ces symbole vides.
Mais c'est peut-être justement une aubaine : on s'est toujours
posé la question de savoir ce qu'est la matière. Et bien
nous avons là une réponse qui peut satisfaire certains :
la matière c'est tout simplement l'évolution d'une structure
dans le temps et l'espace. Le constat de notre vieux philosophes était
le bon depuis le début. Et dans cette définition le symbole
n'est plus un ennemis mais un allier : en étant vide de tout sens
car univoque et desincarné de tout sauf de la réalité,
il apparaît comme le fond de la réalité.
On obtient là un indice interessant à la question inassouvie
de savoir si la mécanique quantique est le fond de la réalité
: on sait que non à cause de son incompatibilité avec la
mécanique relativiste, mais on obtient une information primordiale
sur la notion de matière : par la mécanique quantique, on
perçoit une nature profonde de ce qu'est la matière.
Cette approche sémantique qui restaure la confiance dans le sens
apporté par la mécanique quantique est une conséquence
nature de notre compréhension du sens des symbole formel abstrait
(désincarné ) et univoque. C'est la compréhension
de ce symbole formel qui à donné du sens à toute
la logique, au mathématique et maintenant à la physique,
cest-à-dire à toutes les sciences dures qui utilise
fondamentalement ce symbole.
Utopie
quantique.
Certains ont eu l'espoir (bien maigre aujourd'hui) de prolonger l'objectivité
de la mécanique quantique avec la logique pour aboutir à
l'objectivation de toute la réalité matérielle (c'est
l'objectif de la phénophysique). Mais au vue de notre description
de la réalité, au vu de la subjectivité de toute
la réalité. Il semble que cette tentative soit l'illusion
de la réductibilité qui oublie la profonde réalité
des objet supérieur.
Maintenant il existe des argument qui ajouterait à la faveur de
cette peespective : le fait que la mécanique quantique soit univoque
est un atout formidable de prolongation (reste à savoir si l'univocité
est réel ou partielle : n'oublions qu'en plus des concepts et des
lois, il y a les mesures...).
En sa faveur encore, on constate la présence intrinsèque
du hasard (selon une interprétation de la méanique quantique).
La propriété très particulière du hasard d'être
en même temps subjective et univoque en fait le candidat idéal
pour introduire la subjectivité dans toute la réalité
supérieure. On peut dire qu'avec ces deux éléments
la morphologie de la trame commence à poindre... quand on est optimiste.
Car il reste encore beaucoup de foi pour soumettre les réalité
d'ordre supérieure.
De façon générale on constate que la subjectivité
est très présente, immensément présente dans
la trame : Poser l'idée de condensation entourée de subjectivité
comme morphologie générale de la réalité (selon
ce que nous avons fait) est une approche épistémologique
sensé. Mais a priori cela n'empèche pas la réductibilité.
C'est d'abord une question de point de vue : subjectivité fondamental
ou univocité fondament, mais ce n'est pas seulement une question
de point de vue. On peut envisager que c'est compatible en partant d'un
fond de la trame, mais pour cela il faut beaucoup de foi, car les étages
du sens s'élève immensément au dessus de la réalité.
Mais plusieurs on eu cette fois en la reductibilité. C'est l'approche
du philosophe Russel. C'est en lieu comme la logique ou comme la mécanique
quantique qu'il faut venir se ressourcer pour reprendre des forces.
Personnellement quand je vois la petitesse de la réalité
matérielle dans la trame, quand je vois la petitesse de la mécanique
quantique dans la réalité matériel, quand je vois
la petitesse de l'univocité effective dans la trame, quand je vois
que toutes ces réalités n'échappe pas non plus à
beaucoup de subjectivité, par l'utilisation du langage mais aussi
par leur définition, quand je considère que la mécanique
quantique bien que de nature univoque n'est après tout qu'une forme
observée et non une réalité observée, j'ai
beaucoup plus tendance à croire qu'il s'agit là d'une anecdote
de la trame (d'une simple condensation), un motif particulier comme il
en est beaucoup d'autre, car la trame n'a pas finit de nous surprendre.
Mais c'est là une question d'angle de vue.
La Science est recherche de la réalité objective partageable.
Le sens est le ressenti instantanné d'un tissu organisé
de concepts formant une unité cohérente liée à
la totalité de nos aquisitions (qui sont pour chacun un autre sens).